Skip to content

Généralités

La cochenille du laurier-rose ou cochenille du lierre, Aspidiotus nerii, appartient à la superfamille des Coccoïdes et elle est répandue pratiquement dans le monde entier. Elle s'implante sur les oliviers, les pommiers, les manguiers, les palmiers, le laurier et les agrumes.

Solutions biologiques pour les Cochenille du laurier-rose

Filtres:
Effacer tous les filtres
Afficher tout Montrer moins
produits trouvés:

Vous avez des questions ou besoin d'aide ?

Trouver un revendeur

En savoir plus à propos

Dégâts et symptômes

On peut détecter l’infestation par la cochenille à l’apparence de la carapace de la cochenille sur les rameaux, les feuilles et les fruits des hôtes. Les infestations sur les feuilles et les rameaux peuvent provoquer le flétrissement des plantes et réduire leur zone de photosynthèse, diminuant ainsi le rendement. Les dégâts sur les fruits se produisent en cas d’infestation massive, lorsque les tâches sur les fruits et souvent leur difformité affectent leur valeur marchande. Sur les olives, on la détecte grâce aux tâches vertes sur les fruits violets. Les dégâts sur le feuillage sont particulièrement importants dans les cultures ornementales. Une infestation massive peut conduire au jaunissement de la plante, à la malformation ou au flétrissement de la feuille et de la pousse et à la mort de la plante.

Cycle de développement et caractères morphologiques de la cochenille du laurier-rose

La cochenille du laurier-rose adulte est ronde et grisâtre, blanc sale ou jaunâtre, avec l’apex de son bouclier excentré. Elle ressemble à un œuf au plat miniature de 2 mm de diamètre. Les jeunes cochenilles mesurent approximativement 0,3 mm de long. Elles se fixent rapidement aux plantes et forment leur bouclier. Les colonies se forment principalement à la face inférieure des feuilles.

Au bout de 1 à 2 mois, la femelle atteint l’âge adulte et commence à pondre des œufs. Une femelle adulte peut vivre plusieurs mois.

Chaque femelle produit une progéniture de 30 à 175 individus au cours de sa vie. À 30°C, le taux de fertilité se réduit considérablement et la mortalité est élevée parmi les « crawlers ».

Besoin d'aide ?